𝗣𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂'𝗶𝗹 𝗳𝗮𝘂𝘁 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 𝘀𝗲 𝗯𝗮𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹'𝗮𝗰𝗰𝗲̀𝘀 𝗮̀ 𝗹'𝗮𝘃𝗼𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗶𝗯𝗿𝗲, 𝗴𝗿𝗮𝘁𝘂𝗶𝘁 𝗲𝘁 𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲, 𝗹'𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗿𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗠𝗮𝗿𝗶𝗲-𝗟𝗮𝘂𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗥𝗮𝗯𝘆 𝗿𝗮𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗰𝗿𝘂𝗰𝗶𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗮𝘂 𝗤𝘂𝗲́𝗯𝗲𝗰, 𝗹'𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱'𝗮𝗰𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗹'𝗮𝘃𝗼𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝗿𝗼𝘂𝗽𝗲𝘀 𝗳𝗲́𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀. ✊
À l'occasion de la parution de son ouvrage 𝐵𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑑𝑖𝑡. 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑣𝑜𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑄𝑢𝑒́𝑏𝑒𝑐, nous vous invitons à une causerie animée par l'historienne féministe Ève-Marie Lampron.
𝗠𝗲𝗿𝗰𝗿𝗲𝗱𝗶 𝟭𝟳 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝗮̀ 𝟭𝟴𝗵
𝗟𝗶𝗯𝗿𝗮𝗶𝗿𝗶𝗲 𝗟'𝗘𝘂𝗴𝘂𝗲́𝗹𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲
À PROPOS DU LIVRE
En 1969, une vaste réforme du Code criminel ouvre la porte à la décriminalisation partielle de l’avortement au Canada et rend possibles certaines interventions pour des raisons thérapeutiques. Au Québec, c’est l’occasion pour le mouvement féministe de se mobiliser et de demander l’accessibilité complète et universelle des services et le retrait de la tutelle médicale. Certaines militantes mettent sur pied un vaste réseau de services d’avortement, actif jusqu’à l’arrêt Morgentaler de 1988.
Les militantes ont défié les lois, joué au chat et à la souris avec la police, traversé la frontière états-unienne et mobilisé leur savoir-faire pour offrir des avortements sécuritaires. C’est cette histoire de l’ombre que raconte ici Marie-Laurence Raby. Une aventure souvent occultée dans l’histoire par le travail des hommes médecins.
« Le mépris n’aura qu’un temps ! »
À PROPOS DE L'AUTRICE
Doctorante en histoire à l’Université Laval, MARIE-LAURENCE RABY s’intéresse aux mouvements féministes québécois d’autosanté de la seconde moitié du XXe siècle.
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